"The Rocks" provincial park, Fundy Bay.
Lighthouse
Lunenburg
Beach Port Mouton
Fortress in Louisbourg Bay
Caissie Cape shore
Moncton
at beach end
Shediac.
"The Rocks" provincial park, Fundy Bay.
Frédéric Gate
La banquise
Moncton
Moncton
Cordes
on the way to Third Vault falls
Seagulls on Digby's wharf
Bluenose II
Cabanes de pêcheurs sur la glace
tall ships
Moncton
Bras d'Or Lake, lighthouse
Nova Scotia
near Glace Bay
from Cap Lumière shore
Glenora distillery,
Nova Scotia
Lockeport Lighthouse
out of the water
Moncton
towards the Dauphin Gate
Miramichi
Moncton
Whale on wall
near the sugar bush
the beach
Moncton
Quebec City.
in Louisbourg Bay
iced feet
Memramcook.
Moncton
wharf
Saint-John City market.
Moncton
Moncton
Shediac.
"The Rocks" provincial park, Fundy Bay.
barn
Beaumont road, Memramcook
private sea
Caissie Cape
Nous étions prévenus : le Nouveau Brunswick est une province bilingue anglais-francophone. Certes le francophone ressemble oralement à du français mais l'orthographe est plus phonétique que grammatical.
Le bilinguisme au Canada est un sujet récurrent puisque les premières lois ont été ratifiées en 1867 pour ce qui est de la loi fédérale et en 1870 pour la première loi provinciale donnant au français un statut officiel. Avant ces lois, en 1534, un certain Jacques Cartier avait découvert le Canada qui était devenu une colonie française jusqu'en 1763 où les britanniques avaient réussi à le récupérer.
Depuis lors, certaines provinces canadiennes ont decrété le français comme seconde langue officielle, avec plus ou moins d'envie. Pourtant en 1969, la première loi sur les langues officielles est adoptée par le Parlement qui a pour principaux objectifs d'établir une égalité officielle entre le francais et l'anglais, promouvoir la langue minoritaire dans chaque province (l'anglais au Québec et le français dans les autres provinces) mais également promouvoir la pleine reconnaissance de l'anglais et du français dans la société canadienne. Il faut savoir que même si le nouveau Brunswick est toujours la seule province bilingue, il n'y a pas si longtemps encore où les acadiens ne pouvaient pas vraiment parler leur langue maternelle dans les endroits publics. Beaucoup de choses ont changé depuis mais depuis quelques semaines, certains élus voudraient revenir sur ce droit car le bilinguisme coûte cher : papiers administratifs, publicités commerciales, journaux écrits dans les deux langues, enseignement, hôpitaux, administrations devant accueillir et renseigner et servir en anglais et en français. Le débat a lieu actuellement sur une possible révision de la loi provinciale sur les langues officielles et les francophones semblent se battre pour conserver ce droit acquis et également inscrit dans la loi fédérale.
Toujours est-il que certaines sociétés de traduction profitent de la non connaissance par certains de la grammaire française pour écrire d'une façon très étrange. Un combat à mener ?
A vous de juger. En tout cas, il serait vraiment domage de revenir en arrière et de supprimer cette spécificité qui n'a pas de prix (et unique au monde pour le franco-anglais ?), aux yeux d'immigrants, qui comme nous venons d'un pays qui certe possède une belle langue mais qui ne savons pas en faire apprendre une seconde à nos enfants.
''Perruque de traitemen de choc''.
''Perruque de vampire avec Rougeoyer-dans-le les stries foncées".
Une traduction plus réaliste aurait pu être Perruque de sorcière avec mèches qui brillent dans le nuit (ou visibles la nuit)
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